La mort et le deuil
C'est un sujet qui reste relativement tabou, bien que la mort soit la seule certitude que nous ayons. Nous ne savons en général ni quand ni comment, mais nous y serons tous confrontés...qu'il s'agisse de notre propre mort ou de celle de nos proches.
En France, une personne décède toutes les minutes.
Dans les sociétés matérialistes, ce passage est appréhendé avec une certaine distance, pour ne pas dire déni. On se défend parfois d'en parler, comme si cela risquait de le rendre plus réel. C'est pourtant la seule réalité qui soit tout à fait inévitable...
Cet état de fait contribue à renforcer le sentiment de solitude des personnes qui traversent un deuil. Pourtant le collectif a un rôle précieux à jouer en offrant des repères contenants, en termes de rites sociaux et culturels. On observe que ceux-ci ont tendance à s'amenuiser dans notre monde contemporain, n'offrant plus de cadre soutenant pour naviguer cette épreuve existentielle et permettre à cette grande "déconnection" de devenir une grande"transformation"du lien.
Nos attachements ne s'arrêtent pas au moment de la mort.
Nous n'oublions pas nos amis partis en voyage car ils ne sont plus accessibles à notre regard.
Nous n'oublions pas nos amis partis en voyage car nous communiquons avec eux d'une autre façon quand ils sont au delà des frontières.
De la même manière, il s'agit de trouver de nouvelles manières d'être en lien avec nos proches invisibles, non disparus.
Il ne s'agit pas de "tourner la page", d'oublier, de se détacher, mais de trouver une autre relation, au delà de la présence physique, dont le manque reste néanmoins bien légitime.

Qaund le deuil commence avant la mort...
- Le pré-deuil
Il arrive que suite à un diagnostic, un accident... la mort se profile comme une réalité prochaine. Elle devient concrète alors que la personne est encore bien là. Pour la personne concernée, un processus d'examen de sa vie peut commencer... Les proches quant à eux font face à la conscience parfois brutale que leur futur commun est ébranlé, des projets et projections s'effondrent, s'effacent, pour une autre réalité : celle d'une séparation à venir, à l'échéance parfois incertaine.
- Le deuil anticipé
Le pré-deuil peut se transformer en deuil anticipé quand la détresse liée à la séparation conduit à se mettre à distance, à se détacher affectivement. Les échanges avec le futur défunt peuvent s’espacer, voire s'arrêter... comme si la personne était déjà partie.
Cette forme d'évitement gèle tout processus, intérieur et extérieur. Quand la perspective de la mort parait impossible à affronter, la fuite peut devenir l'unique stratégie. A l'annonce du décès, le risque est que la culpabilité revienne en boomerang, ainsi que les regrets d'avoir "enterré" la personne avant l'heure...
- Le deuil blanc
La vie peut nous confronter à des situations où un être aimé change à tel point qu'on a le sentiment de le perdre même s'il est encore vivant.
C'est le cas des maladies neurodégénératives, du coma, de l'aphasie mais aussi parfois des situations de radicalisation...
On ne reconnait plus vraiment l'autre, la communication ne se fait plus de la même manière. La relation se poursuit mais sans pouvoir encore partager ce qui faisait le lien auparavant.
Pour la Société Alzheimer du Canada, le deuil blanc est le « type de deuil que l’on ressent lorsqu’une personne atteinte d’un trouble cognitif n’a plus la même présence mentale ou affective que par le passé, bien qu’elle soit toujours présente sur le plan physique ».
Cette personne peut être changeante, déroutante, voire offensante. Elle n'est plus forcément en mesure de donner, d'investir le lien. L'implication relationnelle peut alors devenir unilatérale, jusqu'à l'assèchement, l'épuisement. Il est généralement nécessaire de se relier à la qualité de la relation antérieure pour trouver l'énergie de continuer à être là. C'est une expérience qui demande de mobiliser beaucoup de ressources et qui commence à inviter la question du deuil, un deuil blanc : on pleure quelque chose de l'autre que l'on est en train de perdre, alors qu'il est encore vivant...

Il est possible de préparer la mort comme un passage précieux et important de l'existence

Explorer notre rapport à la mort
Avez-vous déjà exprimé vos vœux de fin de vie ?
Comment réagissez-vous si vos proches vous en parlent?
Qu'est-ce que la mort pour vous ?
Quelles sont vos croyances concernant la mort?
Etre vivant, c'est affronter différents deuils
au fil du chemin
- Le deuil d'une personne
- Le deuil d'un animal
- Le deuil de son existence (fin de vie, soin palliatif)
Mais aussi dans une autre mesure...
-Le deuil de la santé, d'une partie du corps (maladie, vieillesse, accident...)
- Le deuil d'un lien (divorce, rupture...)
- Le deuil d'un pays (immigration, exil...)
- Le deuil d’un statut, d'un âge (cycle de vie, ménopause, retraite, ...)

Chemins de mort, chemins de vie
Qu'il s'agisse d'affronter la "perte" physique d'un être aimé ou d'accompagner une personne endeuillée, les mots sont souvent bien maladroits pour faire face à ce défi existentiel.
Autour de la mort
Après le choc de la mort, qui peut parfois s'accompagner d'une phase de déni ou de dissociation, vient souvent la phase de recherche : on est en quête de l'être aimé, de ce qui est encore perceptible de lui. Le son de sa voix sur un message vocal, son odeur égarée sur un vêtement.. toutes les pensées sont tournées vers lui.
Il va y avoir toutes ces premières fois sans l’autre qui sont autant de déchirements...
Celles-ci peuvent réveiller une douloureuse culpabilité.
Celle d'avoir été soulagé du décès quand la fin de vie a été éprouvante.
Celle des circonstances de la mort, si celles-ci ont été difficiles et/ou que l'on a pas pu se dire ce que l'on souhaitait.
Il peut aussi y avoir la culpabilité voire l'interdit de ressentir à nouveau de la joie ou du plaisir, alors que l'autre n'est plus "là".
La détresse peut prendre de multiples formes : anxiété, troubles du sommeil, du comportement alimentaire, ...mais aussi des troubles physiques plus ou moins envahissants (palpitations, troubles digestifs, fatigue chronique...). Un deuil engage une grande quantité de stress, sur une période prolongée. Etre confronté à plus de 6 mois de stress chronique intense offre un terrain favorable à des pathologies comme le cancer, le diabète ou la leucémie (pour cette dernière la prévalence est même 2 fois plus importante chez les endeuillés).
Ceux-ci ont tendance à délaisser leur état de santé. La présence des proches est alors essentielle pour exercer cette vigilance quant aux troubles qui pourraient se manifester.
Il arrive aussi après un décès que les personnes aient recours à une consommation d'alcool à visée anxyolotique. Un tel virage alcoolique peut être plus risqué chez les personnes isolées.
Dans les suites du décès, il y a aussi beaucoup d'énergie à déployer autour de responsabilités très concrètes à gérer : les funérailles, les affaires du défunt, l'héritage, peut-être la vente d'une maison ou un déménagement...et toutes les démarches ou conflits qui peuvent graviter autour.
Il faut faire face...parfois au prix de ravaler son chagrin.
Pour certains, il faut se montrer fort pour ceux qui restent et qui sont aussi accablés.
Pour d'autres, la tristesse peut paraitre tellement abyssale que l'éviter semble la seule option, sous peine d'en mourir.
Toutes ces larmes ravalées vont venir remplir une grande piscine intérieure de chagrin, jusqu'à débordement. Il faudra parfois du temps, des événements de vie ou l'espace d'une thérapie, pour s'autoriser à libérer les larmes refoulées.
Le soutien de l'environnement trouve ici tout son sens.
Mais ce n'est pas parce qu’on est entouré qu’on peut nécessairement parler ouvertement à ses proches. Ceux-ci peuvent être eux-mêmes terrassés par la peine, mal à l'aise ou maladroits. Combien diront avec les meilleures intentions: "il est temps de passer à autre chose, arrête d'y penser..." C'est là que la présence d'un réseau de soutien stable et compatissant est essentiel : on parle d'au moins 3 personnes, présentes sur la durée, avec qui il est possible de parler sans gêne du défunt et de son ressenti.
Mais aussi de ses vécus les plus déroutants. Avez vous déjà vécu des VSCD (Vécu Subjectif de Contact avec un Défunt) ?
De nombreuses personnes en font l’expérience spontanément : il peut s'agir d'une impression auditive, visuelle, olfactive ou un ressenti physique caractérisée par la sensation de présence du défunt qui établit un contact. Ces VSCD s'établissent naturellement mais peuvent aussi être stimulés en hypnose. Ils participent à créer une nouvelle manière de se mettre en lien avec l'être aimé.
Seconde phase du deuil
Après parfois plusieurs mois ou années, vient le constat douloureux que l'autre n'est plus là dans la réalité extérieure : on commence à ne plus être tout à fait sûr de l'éclat de sa voix lorsqu'il riait, son odeur s'est effacée, l'entourage en parle de moins en moins, la vie a repris son cours pour le reste du monde...
C'est un passage délicat où l'endeuillé peut sombrer à nouveau. Il s'agit de se rappeler à cet instant : "A quel moment la nuit est-elle la plus noire et la plus froide...? Juste avant le lever du soleil" (E. Josse).
Certains endeuillés peuvent avoir l'impression de maintenir le contact avec leur être aimé à travers la tristesse. Ne plus être triste, ne serait-ce pas l'oublier, le trahir ? lâcher ce lien essentiel?
Or c’est justement la tristesse, la culpabilité qui viennent rigidifier ce lien.
Le fait de penser constamment au défunt est plutôt un indicateur que le lien interne peine à s'établir. La pensée est comme une prothèse pour rester en contact, car il n'a pas été possible de construire une autre manière d'être en relation après la mort. Les personnes qui souffrent le plus sont particulièrement celles qui ne perçoivent pas ce contact interne, elles ont alors souvent besoin de penser en permanence au défunt ou de s'enfermer dans la tristesse pour avoir le sentiment de maintenir la connexion.
Or nos liens, avec les vivants comme avec les morts, sont comme des lasers qui peuvent s’étirer à l’infini, s’adapter. Ce n’est pas la douleur qui nous permet d’être en lien mais c’est ce qui peut l'empêcher paradoxalement.
Tout au long de ce chemin initiatique, il est normal d'éprouver un profond chagrin pendant des périodes qui varient pour chacun, de plusieurs mois à de nombreuses années, selon la relation que l'on avait avec le défunt. Il n'y a pas de règle. Chaque deuil est différent. Il peut y avoir des retours en arrière. Tant que cela bouge, c’est un signe rassurant ; un deuil compliqué est un deuil qui s'est figé.
Et évidemment, "faire son deuil", si tant est que ce terme signifie quelque chose, ne veut pas dire que disparaitront le manque et la peine. Ou le lien à l'être aimé.

S'autoriser à traverser le chagrin...
...le temps qu'il faut
Les fantômes psychiques
La place de certains morts dans la famille
Qui peuvent être ces "fantômes" ?
- Les morts pour qui les rites funéraires (quelle que soit la culture) n'ont pas pu être faits comme il se doit (covid, disparition, éloignement...)
- Les morts dont on ne peut pas parler car cela réveille trop de honte (auteurs d'attentats, d'agressions, victimes de massacres...)
- Les morts qui réveillent beaucoup de culpabilité (suicides, personnes qu'on a pas pu protéger ou dont on a joué un rôle dans le décès...)
- Les morts qui n'ont pas pu être pleurés car ils sont partis dans des circonstances qui ne laissaient pas de place à la tristesse (situations de survie, déportés, guerre...)
- Les morts qui ne sont pas toujours complètement reconnus (personnes qu'on a pas connues ou décédées pendant la petite enfance, bébés in utero, parents biologiques non connus...)
...
Ces "fantômes psychiques" forment comme une crypte dans le psychisme.
Il y a des personnes pour qui la vie semble aller comme sur des roulettes, et pourtant c'est comme si elles n'avaient jamais vraiment pu se sentir bien. On peut parfois demander : Y aurait-il quelqu'un qui est mort et de qui on a jamais pu parler dans la famille...?
Il arrive même qu'on ait oublié qu'il fallait oublier, c'est à dire que l'on n'est pas conscient de l'injonction familiale à l'oubli. Celle-ci agit comme un mécanisme de protection par rapport à une souffrance trop grande, alors enfouie, qui prend la forme d'un "fantôme familial", expression imagée pour parler d'une mémoire douloureuse qui reste active, de manière souterraine, mais parfois bien réelle.

Accompagnement du deuil par l'hypnose
L'enjeu est de créer un contact interne, une nouvelle manière d'être en relation avec l'être aimé, à travers un double mouvement :
-l'acceptation de la perte dans la réalité extérieure ET
-la création d'un nouveau lien dans la réalité intérieure
Ce n'est pas un détachement mais est une transformation du lien d'attachement.
Les deuils traumatiques
Il est important de traiter le traumatisme avant tout, car celui-ci peut interférer/bloquer le processus de deuil, alimentant des images intrusives douloureuses du défunt. Il s'agit alors de stimuler une image renouvellée, libérée des flashs traumatiques.
Il y a des personnes pour qui c'est la perte elle-même qui peut être traumatique, notamment dans le cas des traumas complexes, avec troubles de l’attachement.
Un deuil peut réactiver un trauma et un trauma peut réactiver un deuil.
Un deuil peut aussi réactiver un deuil préalable.
Les outils
Au cours du cheminement thérapeutique global, différentes techniques d'hypnose peuvent soutenir le processus :
- les scénarios réparateurs (aussi appelés réécriture symbolique) : ils sont particulièrement importants dans les deuils traumatiques, quand certains moments autour du décès ont fait effraction : agonie, circonstances de décès particulières/brutales, confrontation difficile avec la dépouille...
Dans cette technique, on reconnait qu'il y a une partie de soi qui aurait eu besoin que les choses se passent différemment et on va lui permettre de s’exprimer en hypnose.
On va permettre à la personne de retourner dans le souvenir et faire ce qui a manqué : par exemple, si elle n'a pas pu dire "je t’aime", régler un conflit ou se rendre aux funérailles...elle pourra en imaginaire le réaliser. Elle saura évidemment que cela ne s’est pas passé ainsi, mais l'expérience hypnotique permettra de libérer une partie de la douleur émotionnelle, d'achever intérieurement ce qui était resté inachevé.
- les CAD : Communication (induite) Avec les Défunts : nous y avons recours dans certaines situations. Elles sont généralement sources d'apaisement et précieuses dans les deuils bloqués. Elles permettent de renouveler l'image et le lien au défunt.
-les rituels thérapeutiques: nous pouvons avoir recours à des prescriptions symboliques ou tâches thérapeutiques, en fonction de la sensibilité de chacun, pour soutenir le processus en cours.
Cet accompagnement des endeuillés peut aussi s'adapter :
- aux accompagnements de fin de vie : pour la personne concernée ou son entourage
- aux personnes qui ont peur de leur propre mort ou de celle d'un proche
- aux proches aidants de personnes vivant un deuil
A noter que ce travail peut être utile même si le deuil remonte à de nombreuses années, voire décennies. Le temps n'efface pas les blessures, certains deuils peuvent avoir été "gelés" et continuer à alimenter une souffrance souterraine...qui s'exprime dans d'autres sphères de la vie.
Et les enfants ?
Il est important qu'ils soient impliqués dans les rituels autour de la mort, d’une manière qui soit adaptée à leur âge, leur sensibilité et...leur souhait.
Et le deuil des vivants ?
Lors d'une rupture, d'un divorce s'amorce un autre type de deuil car la personne est toujours vivante mais il s'agit de laisser partir un certain type de relation qui est révolu. Les pratiques d'hypnose peuvent soutenir un processus de transformation ou de lâcher prise de ces liens qui sont appelés à prendre une forme nouvelle.

Groupe de partage autour du deuil - en ligne
Soutien et échange pour les
"tisseurs de lien" (dits endeuillés)
Il n'est pas toujours facile de trouver des espaces où l'on peut parler sans tabou de la mort. La douleur nous coupe parfois de toute énergie et de l'envie de se relier à quoi que ce soit d'autre...que celui ou celle qui manque à notre vie.
Ce groupe vous rejoint donc chez vous, en visio, pour vous permettre de rentrer en lien avec d'autres êtres, qui comme vous, font face aux enjeux d'une perte qui a changé leur vie.
Plutôt que de les appeler "les endeuillés"nous les appelons les tisseurs, car leur défi est de broder un nouveau lien avec l'être aimé, de coudre cette relation avec l'invisible, quelque soit la couleur des fils qui constituera la nouvelle étoffe de cet amour qui jamais ne disparait.
Ce groupe est un espace de parole, d'échange, de soutien, où chacun peut être accueilli tel qu'il est, là où il en est.
Ici pas de jugements, conseils, mais un partage d'expérience, de témoignages, de forces vives...

« Les morts sont des invisibles, ils ne sont pas des absents »
St Augustin

" Préparer la mort "
Groupe de partage/réflexion autour de la mort - en visio
La question de la mort vous travaille, vous intrigue?
Ce groupe réunit des personnes de tous horizons qui :
-ont envie d'explorer ce "phénomène" de la mort
-ont peur de la mort
-ont fait face à des deuils qui les ont marqués
-interrogent leurs croyances
-traversent une crise existentielle qui questionne la"finitude"
Sont particulièrement bienvenus les ado/jeunes adultes (ou plus vieux!) en quête de sens, qui cherchent à comprendre le sens de la vie en appréhendant le sens de la mort.
Un espace de partage, de réflexion à travers l'apport de sagesses du monde, expériences qui nous aident à interroger ce qu'est la mort et comment nous avons envie, profondément, de nous positionner face à elle. Afin aussi d'observer comment notre mortalité vient nous toucher dans notre émotionnalité, notre vie intérieure, notre manière d'être en lien avec l'autre, avec notre existence...jusque dans ses aspects très quotidiens.
Ce groupe ne s'inscrit pas dans une orientation religieuse ou philosophique spécifique. Les partages ont pour vocation de nourrir votre cheminement pour favoriser votre manière très personnelle de vous relier à ces questions, en fonction de vos résonnances et croyances.
Parler de la mort pour mieux comprendre la vie.
Préparer la mort pour embrasser cette précieuse vie humaine qui nous est donnée.

Et si être conscient de la mort
nous aidait
à vivre plus pleinement ?

Hoka Hey!
Chez les indiens Lakota, "Hoka Hey" est une manière de se dire bonjour, de se saluer.
Cela signifie littéralement "c’est un bon jour pour mourir !".
La mort est une conseillère précieuse : c’est parce qu’elle existe que nos choix sont significatifs.
Elle peut nous aider à être plus humains et à accorder sa pleine valeur au moment présent, à nos liens et à nos rêves.

Petites ressources
Résilience psy
Site de la psychologue Evelyne Josse (par laquelle j'ai eu la chance d'être formée et qui inspire une grande partie de cet article)
Multiples ressources sur le deuil, le trauma, l'hypnose
https://www.resilience-psy.com/
Liste des praticiens spécialisés dans le deuil et la communication induite avec les défunts en hypnose et/ou EMDR (Belgique et France)
Les cafés mortels: "on ne mourra pas d'en parler!"
https://www.thanatosphere.fr/page/1936434-cafe-mortel
Le Café Mortel vous invite à partager, sans tabou, vos expériences personnelles liées à la mort sous forme de témoignages. Chaque récit est accueilli, écouté et respecté par l’ensemble du groupe.
Les mots du deuil
Ressources et communauté en ligne pour les personnes en deuil, avec la possibilité de recevoir chaque matin un mail pour soutenir l'espoir et l'énergie
Podcasts
Continuité de la conscience après la mort (C. Fauré)
https://www.youtube.com/watch?v=jBs2V_C1JFg&t=162s
Reprendre goût à la vie après la mort d'un proche grâce à l'hypnose (C. Fauré et E. Josse)
https://www.youtube.com/watch?v=_0knf3qsDLw&t=2488s
Aimer par delà la vie et la mort (C. Fauré)
https://www.youtube.com/watch?v=NN3MkwCKC9o
Livres
Grand public
Livres de Jean Monbourquette : "Aimer, perdre, grandir", "Comment pardonner".
Pour les thérapeutes:
Le pouvoir des histoires thérapeutiques - L'hypnose éricksonienne dans la guérison des traumatismes psychiques
